Outro Testo

Testo Outro

Mais c'est pas vrai, a être honnête sur ma vie les gens perdent
Apprend a cacher tes amours, tes ennuies, tes emmerdes
Apprend a écouter la journée, a comprendre tes nuits
Retiens comme ton nom le plan du chemin par lequel tu t’enfuis
Et on en fait des pas d'géant, on touche et sa couche
Ne les écoute pas j'te raconterais tout ce qu'ont peut faire avec la bouche
Apprenez a aimer la paix, sans les feintes, sans département
A apprécier les humbles, les gens simple, la vie simplement
Fuyez les drôles d'odeur sa frôle l'horreur
On y croise des humains sourire et rire
Camoufler la tristesse d'un saule pleureur
Issa tu va prendre froid parce que t'a pas mis d'bonnet
Sortez moi tout ces mythos d'ma cellule capitonné
Tout était faux, plus qu'a partir, sache que si t'a du lourd a dire
La vérité appartient a qui a les mots pour la dire
Autrement qu'est ce t'en sait
J'aurais vécu a l'époque de Molière ces connard apprendrez mes textes en cour de français
Ne les écoute pas, mentir sur moi, apprend mes défaut, les gens sont... !
Les plus charismatiques ont moins de charisme qu'une de mes chanson
Tu verra comme tout le monde s'en fou de tes regrets tes blessures folles
Mais nous les traîtres et les ennemis on les oublient, on les survolent
Tous coupables, tous échangerais la vie ou l'sommeil
Cherche a palper la lumière, on les encaisses tes coups d'soleil
Personne me tire l'oreille comme certains, le déclin
Ils sont perdus, tous en chien, ils sont plein, je les plaint
Apprend que l'honneur ça va plus loin qu'une belle femme ou qu'une somme
Hagra ça paye pas ça peut coûter cher comme la parole d'un homme
La vie on s’accroche on y croit
Les mots d'un père pèsent largement plus lourd que
Tout ce qui peut sortir de la bouche d'un roi
Mes regrets pour seul sinistre, mon éducation comme gouvernement, mon cerveau, mon cœur comme ministre
Soit t'es victime soit t'es l'auteur, t'es client t'es vendeur apprend toutes les vérités avant de critiquer les menteur
Et chacun joue son rôle a fond chacun ses bails
Le faire quand il est chaud petit c'est (…) une pièce de théâtre
Dis leurs qu'ils réfléchissent entre la blanche et la marron
Que le père noël existe et qu'il ressemble a s'y méprendre a ton daron
J'ai pesé le poids de la douleur, le silence du vacarme vu la sécheresse d'un océan face a la richesse de tes larmes
Laisse les douter de nous, laisse les croire te croire a sec
Si je pouvais m'arracher les yeux pour que tu puisse te voir avec
Prend soin de toi hayati affronte les sans peur, tu m’enterrera j'veux pas que ta mort me rentre une épée dans l'coeur
Si pour certain tu sera cher, un ptit frère, un grand père
Un jour tu sera un père entraîne toi quand tu sera grand frère
On est seul quand on est un homme, une armé de néant
On s'cache dans un trou de souris on pleure des larmes de géant
Apprend la victoire dans tes défaites même sans thunes on gagne
On peut s'enterrer comme un gouffre avant de s’élever comme une montagne
D’où tu viens on boit, on fume pour anesthésier la bête
On se met la tète dans les nuages avec un nuage dans la tète
La défonce c'est pour les faibles si par le remord t'es habité
Apprend a construire la tienne au lieu de fuir la réalité
Nul part se trouve le temps perdus alors partout est l'oseille
J'te raconterais comme ton sourire a rendu jaloux mon soleil
Et même si la lumière est sombre, jour de nuit bref on s'entend
On se perd a tromper sa femme trahir la mère de son enfant
Ma vie, ma vie, ma vie ce dessin sans couleur ni papier Canson
Je jette un magnum a la mer, je suis mort dans mes chansons
Fais ton choix dans mes vertus, dans mes addictions
Si peux d’éclat et tant de fausse note dans mes partitions
Moi j'en tuerais pour ton amour, plus rien ne me touche moi c'est trop tard
Tu ma réappris l'innocence toi seul sait noyer mon regard
J'ai aimé faire ta connaissance, j'ai poussé ce médecin
Rentré dans le ventre de ta mère, je t'en ai sorti de mes mains
Ne laisse pas le malheur t’atteindre avant que ton honneur le frappe
Il est fourbe comme la pénombre menteur comme un chanteur de rap
Et je t'en souhaite une comme ta mère, plus belle que leur sainte trinité
Et d'aimer une femme de sa trempe, au tiers de sa dignité
Par de la son intimité mesure ton courage a tes actes
Toutes les promesse et tout les pactes sont crée pour être rompu
J'ai que mes mots la haine ici même la plus folle on la forge
On m'aurais fais chanter ce texte avec un laguiole dans la gorge
Que le haram c'est comme le bien, lui aussi a ses apôtre
Que c'est moche que de tout son cœur on peut souhaité la mort d'un autre
Sache qu'on est tous un peu froussard aussi longtemps que dure la tempête
Que j'aurais pu écrire tout ça avec un canon sur la tempe mec
Apprend a aimer ton seigneur, même grosse caillera d'un gros secteur
Si tu connais la rue te trompe pas choisis bien ton protecteur
Souris moi j'oublierais tout ce que nous avions subi
Ton regard peut faire place nette dans un camion d'rubis
Je suis née pour sentir ton pouls pour tout t'offrir je roule, j'expire
J't'écoute mes deux mains te tienne, mes deux poumons te respire
Mes jnouns finirons par se taire, se calmer, se geler grave
Ton père plus que de la musique récite la poésie des drame
Hier j'en ai poussé des cris, payé le prix pour m'abreuver
Aujourd'hui le plus heureux laisse moi le vivre a en crever
J'te présenterais Alger, au chocolat, a la vanille et la mémoire de cette terre qui t'auras coûté ta famille
Tu me demandera si c'est possible, j'te dirais cash demain
Et cet étrange pouvoir que j'ai de verser mon sang sur des parchemins
Et pour que tu n’ai jamais faim je ferais tout ce que j'ai a faire
Hors de question que tu mange la hass a cause des vieux rêvé de ton père
Meurs pour ta sœur, ta mère, ta femme protège ta fille c'est ton cadeaux
Quitte a risquer l'habs, l'enfer, c'est ton devoir, c'est ton fardeau
Lié par le sang au tiens a perpet' ou en rien
Soit fier de ressembler a ton père, j'me bat pour ressembler au mien
On s'enferme vite dans un mensonge, quand les vérités ne sont pas dites
Soit fier de ton seigneur, son messager, de ses hadiths
Soit fort comme le fils de Maryam seul contre tous ces lions
J'ai tellement aimé son histoire que je t'ai donner son prenom
J'étais parfait a l'imparfait, toutes mes pensées noir, mes manœuvres
Elle est a toi cette chanson, elle est comme toi c'est un chef d’œuvre
De l'incendie à la mousson si tu est la même sans thème j’adhère
Issa, Mohamed fils de Sofiane, fils d' Abdelkader