Carnage Testo

Un chat dans la tête car la nuit me stimule,
Elles iront en enfer car les salopes simulent,
J'assaisonne emoglobine et bikini,
Rature quelques mesures dans mes nuits d'insomnies,
Son nabil on a buté le pianiste,
Oublie le kiné, voilà le médecin légiste
Moi je les trouve extra, les Carmen Electra,
Qui sucent leur dealeur pour gober de l'exta,
Désosser à l'acide, des morceaux dans le sac,
La chaise musicale juste avant le massacre, Mes lyrics saturent, danse sur mes larsens,
J'ai consacré ma vie à foutre en l'air la tienne,
Sur un son de synthé, torturé leur potiche,
Prothèses en silicone arrachées au pied de biche
Un maniaque, un outil, de l'imagination,
Libérer Charlie c'est de la machination,
Charcuter Lolita, de quoi traumatiser,
Des bouts de cerveaux sur les nibards d'Alysée,
Satan sacralisé, je n'ai plus de limite,
Ton coeur palpite, ton corps est paralysé
Partisant de la mutilation, on fait l'amour à des morts avant la putréfaction,
Ma conscience étouffe, entéré dans sa tombe,
Officiel Hardcore comme un fusil à pompe!

Je suis le mec d'en face,
D'apparence anodine, traumatisé dès l'enfance, une putain de présence anonyme,
Synonyme d’inoffensif, t'as tort si tu les crois,
3h du mat', j'erre dans les rues t'es morts si tu me croise,
J'aime écouter les os qui s'écrasent,
J'aime quand c'est crade, quand les cerveaux éclatent, Canoncier pour exploser ton crade,
Un coeur de glace, seul le diable peut me donner des ordres,
J'vis dans la crasse et me nourris de la douleur des autres,
En cock neuroleptique et chocs psychologique, j'ai le glock,
Pour t'expédier dans une rubrique nechrologique,
Illogique et tordu,adepte de la torture,
Ton corps est d'offre à la déco d'un dépot d'ordure,
Du siège de ma voiture, je t'observe,
Ca fait deux semaines que des visions malsaines et des pulsions m'obsède,
Images brouillées d'autres scènes,
Reproduit dans l'attente de te voir un tournevis rouillé introduit dans la tempe,
Tes membres tremblent, ton entre-jambe est taché,
Le ventre, saisit de crampes, bras et jambes attachés,
J't'ai caché dans ma cave, pour un dernier face à face,
Esclave de jeu macabre ou la pitié n'a pas sa place,
Passe moi les mouchoirs, j'ai défoncé ta machoire à la crosse, éguisé le hachoir à l'approche de ce final attroce,
Sectionner ta gorge et chauffer tes entraves à la broche,
Si on te demande j'habite la dernière maison sur la gauche !