Amsterdam Testo
Testo Amsterdam
J'avais pas l'moral j'me suis fait un cadeau
Arrêt d'travail et voyage vers mon eldorado
Balade au bord des canaux
J'croise quelques badaux
Des autochtones et des touristes béats devant des panneaux
Fly comme l'oiseau, piqué, comme k.o
Un peu d'amour et de zeb, libre comme l'ado
Le ciel couleur radio, les phares et leur halo
Ma solitude comme amie, le hasard pour seul radeau
Ce soir aucune envie d'être sociable Dans mon crâne le spleen se démène comme un beau diable
Marre de courir tout va trop vite dans cette époque formidable
Break au Cannabis College avec du chatter dans mon dab
De coffee en coffee, j'roule ma mélancolie
J'pense à des théorèmes de folie sur le sens de nos vies
Tu peux voir ça comme une maladie
Ma défonce actuelle a un goût d'paradis
Mais t'auras que dalle si t'as pas un centime
Et j'te conseille de pas jouer les bandits
Y'a pas qu'des gens souriants y'a aussi
Des hommes de l'ombre plus nocifs qui veillent a faire leur profit
Donc viens pas faire de trop d'bruit
Ici comme ailleurs la rue commence à la porte de sortie
Et les canaux sont moins bavards que les ien-cli
J'suis pas v'nu ici pour mettre ou prendre de claques
A part celles de ma canne de wax a Vendelpark
Y'a des rires sur les toits de la ville
Une sirène brise le mutisme de la nuit et disparait de là vite
Au Quartier Rouge l'homme paye pour de lubriques pratiques
En espérant pas voir sa fille de l'autre coté d'la vitre Ni sommeil, ni envie d'rentrer
A croire que Morphée m'en a dispensé
Insomnie au pays des bâtisses penchées
J'ai pas d'destination mais j'y vais c'est juste mon point d'départ que j'veux distancer
Une marche sans fin, une rame sans frein
Une page sans rien, une phrase sans point
Et puis sorti des nuages s'en vient
Une averse un extrait d'orage comme un présage d´ancien
Trop tard pour le tram
Et puis j'sais pas ou j'serais descendu
J'ai rdv nulle part, c'est p'têtre pour ça que j'suis détendu
Je reste loin de leur bienveillance prétendue
J'adore le calme et la présence des gens l'tue
J'fais semblant d'pas comprendre quand j'entends parler français
Parce que j'veux pas qu'on m'tienne la jambe quand j'suis défoncé
Roulez jeunesse mais laissez passer
J'ai des idées noires, j'veux d'la Indica pour les effacer
Minuit passé, la veille s'est cassée
A laissé sa place au jour cadet d'une semaine fanée
Et en attendant d'revoir le soleil planer
Faudrait pas que j'me retrouve a oil-pé y m'faut une tête d'Amné
1h moins 10, j'arrive pile poil à la bonne heure
Action décisive, victoire sur shoot au buzzer
J'repars avec ma friandise si désirée
Comme un grand cru millésimé, pourtant si décrié
J'avais besoin d'me détendre et d'prendre de l'air
Loin d'mon bled où y'a peu d'bonnes fréquences et tant d'de-mer
J'vais bientôt rentrer chez moi et prendre le RER
Me faire embarquer pour du mauvais hash par des buveurs de bière
La ville dort d'un sommeil léger
Et j'disparais dans un écran d'fumée...
Arrêt d'travail et voyage vers mon eldorado
Balade au bord des canaux
J'croise quelques badaux
Des autochtones et des touristes béats devant des panneaux
Fly comme l'oiseau, piqué, comme k.o
Un peu d'amour et de zeb, libre comme l'ado
Le ciel couleur radio, les phares et leur halo
Ma solitude comme amie, le hasard pour seul radeau
Ce soir aucune envie d'être sociable Dans mon crâne le spleen se démène comme un beau diable
Marre de courir tout va trop vite dans cette époque formidable
Break au Cannabis College avec du chatter dans mon dab
De coffee en coffee, j'roule ma mélancolie
J'pense à des théorèmes de folie sur le sens de nos vies
Tu peux voir ça comme une maladie
Ma défonce actuelle a un goût d'paradis
Mais t'auras que dalle si t'as pas un centime
Et j'te conseille de pas jouer les bandits
Y'a pas qu'des gens souriants y'a aussi
Des hommes de l'ombre plus nocifs qui veillent a faire leur profit
Donc viens pas faire de trop d'bruit
Ici comme ailleurs la rue commence à la porte de sortie
Et les canaux sont moins bavards que les ien-cli
J'suis pas v'nu ici pour mettre ou prendre de claques
A part celles de ma canne de wax a Vendelpark
Y'a des rires sur les toits de la ville
Une sirène brise le mutisme de la nuit et disparait de là vite
Au Quartier Rouge l'homme paye pour de lubriques pratiques
En espérant pas voir sa fille de l'autre coté d'la vitre Ni sommeil, ni envie d'rentrer
A croire que Morphée m'en a dispensé
Insomnie au pays des bâtisses penchées
J'ai pas d'destination mais j'y vais c'est juste mon point d'départ que j'veux distancer
Une marche sans fin, une rame sans frein
Une page sans rien, une phrase sans point
Et puis sorti des nuages s'en vient
Une averse un extrait d'orage comme un présage d´ancien
Trop tard pour le tram
Et puis j'sais pas ou j'serais descendu
J'ai rdv nulle part, c'est p'têtre pour ça que j'suis détendu
Je reste loin de leur bienveillance prétendue
J'adore le calme et la présence des gens l'tue
J'fais semblant d'pas comprendre quand j'entends parler français
Parce que j'veux pas qu'on m'tienne la jambe quand j'suis défoncé
Roulez jeunesse mais laissez passer
J'ai des idées noires, j'veux d'la Indica pour les effacer
Minuit passé, la veille s'est cassée
A laissé sa place au jour cadet d'une semaine fanée
Et en attendant d'revoir le soleil planer
Faudrait pas que j'me retrouve a oil-pé y m'faut une tête d'Amné
1h moins 10, j'arrive pile poil à la bonne heure
Action décisive, victoire sur shoot au buzzer
J'repars avec ma friandise si désirée
Comme un grand cru millésimé, pourtant si décrié
J'avais besoin d'me détendre et d'prendre de l'air
Loin d'mon bled où y'a peu d'bonnes fréquences et tant d'de-mer
J'vais bientôt rentrer chez moi et prendre le RER
Me faire embarquer pour du mauvais hash par des buveurs de bière
La ville dort d'un sommeil léger
Et j'disparais dans un écran d'fumée...
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